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Ecrire devrait d’abord être ceci. Eclairer le mal, braquer une douche lumineuse sur les travers de son temps. Ici, ils se nomment perversité, gabegie, misère sociale, cruauté politique, corruption ou encore non-respect de nos traditions séculaires. Et le prétexte qui questionne ces maux est double. D’un côté, Le dernier mot des dieux, la pièce éponyme, qui érige l’excès, l’abus l’insolence en accélérateurs de la perte, du déshonneur et de la chute politique d’un président qui a dissout le peuple et la République dans l’eau du mépris. De l’autre, Tu es trop belle pour mourir qui entre, avec une mineure à bout de bras, dans les couloirs sombres, pervers du show-business. Robert Asdé, par cet exercice, son tout premier, confirme qu’écrire, c’est surtout cela.

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